Question 11

Vos Questions

Question 11

Posée le 22 avril 2024
(Question en rebond sur la Conférence 45, sur la partie concernant le mental.)

Bonjour ! Et merci pour tout 😊

Les exercices de concentration consistent donc à laisser venir la réponse à nos questions depuis notre intérieur et ce, grâce à un état d'être le plus neutre possible ?

Si des perturbations arrivent, on doit être capable de maintenir cet état d'écoute malgré tout ? Ou n'ai-je pas tout saisi ?

Et si j'ai bien compris, le fait que vous n'ayez plus de chakras est lié au fait que vous avez totalement dépassé le plan de l'astral ?

Bonne soirée à tous

Réponse

  • Les exercices de concentration consistent donc à laisser venir la réponse à nos questions depuis notre intérieur et ce, grâce à un état d'être le plus neutre possible ?

C'est dans cet ordre : pour pouvoir entendre la réponse, il est nécessaire d'être dans un état de grande concentration d'abord.

Donc si on décompose une séquence ce serait :

  • Mets toi en état de grande concentration.
  • Pose ensuite une question.
  • Sois neutre, ce qui signifie que tu es prête à accueillir n'importe quelle réponse.

Si tu as déjà une idée préconçue sur la réponse à la question que tu te poses, alors tu n'es pas neutre. Soit c'est parce que tu as déjà la réponse à la question, et alors il est inutile de la poser. Soit c'est parce que tu as un biais cognitif sur la question, et que tu aimerais que la réponse aille dans "ta direction".

Prenons un exemple concret.
Une affaire d'un enfant qui a disparu.
Son grand-père est interrogé par les enquêteurs, il pourrait être impliqué dans le crime.
Cet homme est très respecté dans sa région, il est "bon chrétien", il organise de belles choses pour l'ensemble de la vie locale.
Personne ne peut imaginer qu'il puisse être un criminel.

Supposons que tu le connaisses personnellement, depuis de nombreuses années, que tu apprécies beaucoup cet homme et ses actions au service de la commune. Et que tu penses donc que c'est impossible qu'il puisse être impliqué, lui, un voisin si talentueux, si respectable, si bon chrétien.

Tu as un biais cognitif.

Ce grand-père est-il impliqué ou pas ?
Laissons les enquêteurs faire leur enquête de leur côté. Mais continuons l'explication, car c'est ici qu'il faut être neutre. Absolument neutre.

Si tu te poses la question : "Est-il coupable ?"
Tu te mets dans le silence absolu, tu te concentres (nous y reviendrons), et tu mets de côté tout ce que tu sais déjà sur cet homme. Tout ! Page blanche.

Tu ouvres ton esprit à tous les champs des possibles. Tous. 360°.

Si la réponse qui arrive est "il n'est pas coupable", alors tu seras satisfaite, puisque cela convient à ton idée première. Si la réponse qui arrive est "il est coupable", alors tu seras dérangée... car elle ira à l'encontre de ton idée première.

Ton premier réflexe sera alors probablement de dire : "non non, ce n'est pas possible !" et d'effacer d'un revers de la main immédiatement la réponse. Activant peut-être même ainsi le déni, qui est si confortable - et nécessaire aussi par moment. Pourquoi ?

Car il est préférable de renier une information si ton esprit n'est pas encore prêt à l'accueillir. Ce serait prendre le risque de devenir fou.

"Quoi ? Tout mon monde s'écroule ! Si cet homme charitable est un affreux criminel, mais alors... N'importe qui peut être un dangereux criminel ! Mais alors à quel saint se vouer ? Dois-je me méfier de la terre entière, du moindre voisin ?", etc... Risque de tomber dans la paranoïa aiguë, ou, sans aller si loin dans l'extrême, de voir le monde uniquement en noir (après ne l'avoir vu uniquement en blanc... réaction logique, on teste l'autre extrémité et un jour on trouvera la neutralité), tomber dans la déprime, le désespoir, etc...

Regarder la réalité du monde tel qu'il est, c'est parfois bien difficile. Alors on se berce dans les illusions. Cela nous rassure, nous protège aussi. Bien qu'il faille en sortir un jour de l'illusion, n'y allons pas forcément trop vite, chacun son rythme.

Si tu renies une information par protection, alors elle reviendra plus tard, le temps que tu sois prête à l'accueillir.

C'est pour cela notamment que la réponse ne vient pas toujours instantanément, et qu'elle peut se présenter naturellement à toi plus tard, au juste moment.

Peut-être se manifestant par l'annonce officielle de la fin du jugement : "cet homme est coupable", ou "cet homme est non coupable". Ou tu entends dans un café des gens témoigner de leur vécu sur cette affaire qui vont te permettre d'avoir plus d'éléments à ajouter dans ta réflexion à ce sujet. Ou des synchronicités sur ton chemin, des indices à suivre, un jeu de piste... N'oublions pas que la vie est un jeu, un grand jeu.

Donc être neutre face à une question c'est cela : être prêt à accueillir n'importe quelle réponse. La meilleure, comme la pire. Comme l'absence de réponse aussi. Parfois elle n'est pas disponible, ce n'est pas l'heure. Rappelle-toi le rayon de la mort, ils ont eu la réponse, et ils en ont fait n'importe quoi. Alors...

"Patience et longueur de temps valent mieux que force ni que rage."

Comment arriver à cet état de grande concentration ?
En s'entraînant sur des choses simples.

Faire le plus haut château de cartes, par exemple. C'est un excellent exercice de concentration. Le moindre geste et tout s'effondre, le moindre souffle non maîtrisé, le moindre courant d'air dans la pièce, une carte plus abîmée que les autres qu'il est préférable de ne pas mettre sur l'assemblage, tout doit être pris en considération. Et le château tombe tellement de fois que la persévérance est de mise pour ne pas abandonner. Une fois réussi un premier de 1 étage, ajouter un 2e, puis un 3e, puis un 4e... etc.

Dans cet exercice ludique, une grande concentration est de mise. Petit à petit, cela peut devenir méditatif.

Écrire, écrire, écrire. C'est un excellent moyen de se mettre en état de grande concentration. Tu te focalises ainsi sur un sujet et tu écris tout ce qui te passe par la tête. Si tu essayes de le faire seule en silence, ton esprit risque de partir dans tous les sens et tu n'avanceras pas. Donc un focus est nécessaire.

Prends un cahier et écris. Pendant un temps de plus en plus long. Trente minutes, jusqu'à plusieurs heures. Des pages, et des pages. Sans compter. Sans te relire même, cela n'a pas forcément grande importance. L'important c'est que cela sorte. Si tu as besoin d'un focus supplémentaire, imagine écrire à quelqu'un qui t'écoute, cela peut-être toi-même.

Focus.

Autre exercice déjà proposé, sur une journée regarde chacun de tes gestes. Sois présente, hyper présente.

Focus.

Autre exercice simple : regarde un objet sans bouger pendant le plus longtemps possible. Cela ne sert à rien en apparence. Cela peut-être vite ennuyeux même.
Focus. Regarde l'objet, une tasse, une fleur, puis plus loin, la maison d'en face, l'arbre au loin, l'horizon que tu embrasses du regard le plus large possible en regardant bien devant toi.
Et laisse libre tes pensées.
Prends en une au passage qui s'invite et focalise-toi sur elle en te posant cette question :
"Pourquoi cette pensée s'invite-t-elle là ? Qu'est-ce qu'elle vient m'apprendre ?"
Et "attends" la réponse. Toujours en regardant l'objet ou le paysage choisi.

Focus.

Même exercice en fermant les yeux, pour t'intérioriser c'est plus facile. Visualise un objet ou une scène, ou laisse venir ce qui vient. Et demande toi pourquoi cela vient en te focalisant dessus.

Ouvrons maintenant ta deuxième question :

  • Si des perturbations arrivent, on doit être capable de maintenir cet état d'écoute malgré tout ? Ou n'ai-je pas tout saisi ?

Reprends l'exercice du château de cartes. Si un courant d'air arrive, que vas-tu faire ? Recommencer et se faire souffler à nouveau le château par le prochain ? Ou vas-tu faire en sorte de résoudre l'environnement pour qu'il n'y ait plus de courant d'air ? En fermant la fenêtre par exemple.

Entrons maintenant en ton for intérieur. Car tu ne parles pas de perturbations extérieures ici, mais l'image du courant d'air est utile.

En ton for intérieur, qu'est-ce que tu nommes "perturbations" ?

Si tu poses une question et que tes pensées sont perturbées par le rendez-vous que tu as dans deux heures, et que tu réfléchis alors à quelle tenue tu vas te mettre, alors que ce n'est pas le sujet de ta question...

Est-ce que c'est "une perturbation" ?

Ou est-ce que c'est une réponse à une question que tu te posais hier et que tu n'as pas résolue, et qu'elle revient toute seule à ce moment-là, à bon escient, car effectivement, puisque c'est dans deux heures, il serait temps de choisir ta tenue.

Lorsqu'on est dans cet état de réflexion intense, beaucoup de choses peuvent alors revenir en tête ainsi.

Ces choses, tant qu'elles ne sont pas traitées, si c'est nécessaire de les traiter, elles reviennent. Même sur des sujets qui ne sont pas en apparence "spirituels" - ce qui serait se fourvoyer de penser ainsi car la spiritualité est en toute chose de la vie.

Donc souvent, au début d'un tel exercice, tout un tas de choses "s'invitent" dans nos pensées car on les a comme empilées en disant "je verrai plus tard", et le "plus tard" s'invite "maintenant".

Tant mieux, c'est peut-être bien l'heure et le moment de les traiter.
Un sujet "s'invite" ? Qu'est-ce que j'en fais ?
1) Je le traite,
2) Je le range pour plus tard. Je l'encarte.
3) Je l'élimine, c'est "une perturbation".

Encarter ? C'est l'image de l'écrire sur une petite carte, comme une carte à jouer blanche. Pas pour faire un château cette fois, mais pour l'écrire afin de noter les sujets qui viennent ainsi, que tu aimerais résoudre "plus tard", car ils te semblent importants.

Tu rassembles ainsi un jeu de cartes, et régulièrement, tu sors tes cartes et tu traites les sujets un par un.
Tu peux le faire très concrètement ainsi, avec des feuilles ou un jeu de cartes blanches, ou des fiches... Ou, peut-être en as-tu déjà l'habitude, le faire uniquement mentalement. Dans un coin de ton esprit, ranger les sujets pour les traiter plus tard. Mais les écrire permet de les sortir de sa tête plus facilement, et ainsi de t'alléger pour traiter les sujets que tu as vraiment envie de traiter en priorité...

Car il y a aussi les stratégies d'évitement qui s'invitent... Les filoutes !

Suppose que tu as un sujet que tu n'as pas envie d'aborder. Un sujet qui te dérange, ou que tu as identifié mais que tu n'as pas l'envie, ou le courage, ou encore "la flemme", amie des plus jeunes, d'affronter.

Alors un autre sujet s'invite : "Tiens, je n'ai pas choisi ma tenue pour mon rendez-vous de demain." Et hop, tu évites le sujet pour traiter celui-ci qui est "facile". Et comme dans l'existence il y a des centaines de choses "faciles", mais qui sont tout de même des choses à traiter, eh bien on les traite, et on se donne bonne conscience. Tout en remettant au lendemain, toujours au lendemain, le sujet de fond qui frappe et re-frappe à la porte... Certains viennent et reviennent ainsi sur plusieurs vies.

Toc, toc, c'est l'Épreuve ! Alors ? Tu y vas cette fois ?

As-tu fais la liste des épreuves qui se sont déjà présentées sur ton chemin ? Celles que tu as déjà résolues et celles qui sont là et qui n'attendent que toi ? C'est un bon exercice de réflexion de regarder en soi et autour de soi où sont les Épreuves. Quitte à en voir un peu trop, il n'y en a pas non plus sous chaque feuille qui tombe devant toi. Cela reste un jeu.

Alors comment arriver à se mettre dans un état pour traiter un seul et un seul sujet ?

Car c'est possible. C'est ce que je fais là, moi qui suis en train de t'écrire avec une grande concentration pour choisir les mots, les laisser venir à moi, les orchestrer, traduire les images qui me viennent en mots pour toi, etc. Focus. Plus rien ne vient me perturber, je suis intégralement concentré. En même temps mes sens sont alertes, s'il advenait un événement imprévu - un enfant qui pleure par exemple - je suis en mesure de m'interrompre.

Une fois que tu a traité "les sujets du jours" en début de séance. Cherche à faire le vide.

Une méthode qui a fait ses preuves :
Les yeux fermés, tu te focalises sur ta respiration.
Tout respire dans l'Univers.

Dès qu'une idée arrive, une image, tu la renvoies gentiment de ton esprit "non, pas maintenant, merci". Il y a comme un panneau "Ne pas déranger" que tu mets devant la porte de ton esprit. Tu fermes la fenêtre aux courants d'air. Dès qu'une autre arrive, tu la renvoies, et ainsi de suite. Jusqu'à arriver dans une zone "vide", calme, où plus rien ne bouge, plus aucune pensée n'arrive.

Ton temple intérieur. Inviolable et inviolé. En paix.

À cet endroit, alors tu peux te focaliser sur la question.
Tu choisis la pensée qui a le droit d'entrer en ton temple intérieur, avec ton consentement. De la même manière que tu ne laisses pas entrer n'importe qui en ton temple de chair, tu ne laisses pas entrer n'importe qui en ton temple d'esprit. Toujours la notion de consentement.

"Tout ce qui est en bas est comme tout ce qui est en haut."
Vois-tu la correspondance dans cet exemple ?

Tu es la prêtresse de ton corps, de tous tes corps. Et tu imposes le respect.
Imposer le Respect c'est divin.

Tu choisis donc le sujet de fond que tu as envie d'aborder. Vois alors ce qui vient, dans cet état de neutralité absolue, capable d'accueillir l'infinité des possibles. Comment cela se matérialise alors dans ton esprit ? Toi seule le sait.

  • Si j'ai bien compris, le fait que vous n'ayez plus de chakras est lié au fait que vous avez totalement dépassé le plan de l'astral ?

Il y en a toujours, mais ils ne sont plus sur le plan astral, donc imperceptibles par ceux qui ont des dons de clairvoyance sur ce plan-là. Ils restent perceptibles pour ceux qui peuvent pousser plus loin le coronal. Ce qui fut illustré par l'auréole sur les icônes.

Un jour, il y a quelques années, j'étais sous les mains d'une magnétiseuse, par curiosité de voir si elle pouvait m'aider à résoudre une douleur persistante depuis bien des années en moi, et ce fut effectivement très efficace. Elle a un don de sentir sous ses mains si les chakras sont ouverts ou fermés. Et elle m'a ainsi scanné, et très surprise, elle m'a dit qu'ils étaient fermés. C'était la première fois que cela lui arrivait, et elle n'avait pas la connaissance de cet état particulier, ni moi-même d'ailleurs à cette époque. Ce n'est pas facile l'oubli à la naissance dans un corps de chair, mais c'est un autre sujet. ("Non, pas maintenant, merci", je n'ouvre pas la fenêtre aux courants d'air. Je choisis dans quelle direction va ma pensée.)

Nous marchons donc hors du plan du bas-astral, oui. C'est ainsi que Jésus avait choisi l'image de "marcher sur l'eau". Et il a donné en même temps la clef pour cela. T'en rappelles-tu ?

"Homme de peu de Foi, pourquoi as-tu douté !"

La Foi, la Volonté intérieure, le Pouvoir, le rayon 1.
La Volonté qui soutient tout l'Univers.
Sans cette force - nous parlions du rapport de force récemment - tu coules.

Le Doute s'oppose à la Foi. Et tu coules, et tu bois la tasse, et c'est désagréable. Et plus tu montes, plus tu vois le monde tel qu'il est vraiment sur cette planète, et plus c'est désagréable, plus tu te dis : "retournons dans l'eau du ventre de ma mère, j'y suis si bien. Mon petit cocon...". Et plus tu montes, plus tu appréhendes de choses qui défient l'entendement terrestre, tel "marcher physiquement sur l'eau", et plus tu risques de douter, et donc retomber. Et, tombant de plus haut, c'est encore plus douloureux.

"Celui qui aime la vie dans ce monde la perdra."

Comment cela est-il possible ?
Ce monde est-il si injuste ?

Oui. Et c'est bien pour cela qu'il a dit cela.
Mettons-y un peu de lumière pour comprendre.

La Terre est une planète où tout est permis, avec tant d'atrocités et de méchancetés, qu'une âme avancée sur son chemin ne supportera pas l'injustice de ce monde.
Une âme encore plus avancée sera même harcelée par les plus pervertis par la souffrance matérielle. Car ils feront tout pour la détruire. Éblouis par tant de Lumière, jaloux de ce qu'elle est, ou dérangés par la vérité implacable qui sort de sa bouche.

"Je montre en quoi le monde est mauvais."

Nous parlions de ce triste exemple de ce grand-père. Révéler une telle vérité, et un village entier majoritairement dans le déni, pour ne pas ternir sa réputation, pour ne pas perdre en attrait touristique, pour ne pas devenir fou face à son propre aveuglement... Il est plus facile de crucifier la Vérité que de la révéler et la regarder en face.

Alors oui, ceux qui aiment leur vie illusoire dans ce monde et qui ne souhaitent pas regarder en quoi il a bien des zones sombres, non seulement crucifieront les porteurs de Vérité, les sonneurs des trompettes de l'Apocalypse, les lanceurs d'alertes, traités de complotistes ; mais encore, ils perdront la vie.

Pour revenir plus tard, faire une autre incarnation, jusqu'à ce qu'ils aient la Volonté de sortir des eaux de ce bas-astral et de regarder la Vérité, la Réalité en face, jusqu'à aller déraciner les racines du mal, en personne.

"J'ai vaincu le Prince de ce monde."

Il en faut du courage pour descendre si bas dans la fange de ce monde, mais c'est un chemin nécessaire dans ce jeu sur cette planète.

Ceux qui n'osent pas regarder les choses et les gens tels qu'ils sont, car il s'agit bien de regarder les gens tels qu'ils sont. Car les fleurs des champs sont toutes belles. Il ne s'agit pas de cette face-là du monde. S'ils préfèrent rester dans l'Illusion que tout le monde est beau et gentil et respectable, si affable, si honnête, ... un si bel homme !
"Voyons ! Quelle outrecuidance de l'accuser ainsi de ces villaineries ! Je vous jette mon gant au visage ! Choisissez votre arme... Pan 💥 "

Et c'est ainsi que l'on tue la Vérité.

Cela ne sert à rien, car la Vérité est éternelle, et elle reviendra inlassablement sur Terre, pour dire inlassablement la même chose !

  • C'est par là ! Sinon vous mourrez.
  • C'est toi qui va mourir ! Pan 💥
  • C'est encore moi ! Écoutez-moi cette fois-ci !
  • Mais c'est qu'il est teigneux celui-ci ! Pan 💥

Et c'est eux-même qu'ils assassinent ainsi. Ils meurent, en tournant en rond, dans la petite roue de la vie matérielle. Alors qu'ils pourraient trouver la voie qui mène à la Vie éternelle, qui n'est pas la même chose que la réincarnation. Non.

La Vie Éternelle ce n'est pas mourir et renaître éternellement dans un corps de chair sur Terre. Non. La Vie Éternelle c'est la Vie Éternelle, il ne faut pas chercher des significations symboliques compliquées.
Les mots utilisés et choisis par la Vérité disent Vrai, logique implacable. La Vie Éternelle c'est donc ce que ces mots disent. À chacun de faire le Chemin pour le découvrir et vivre, oui, éternellement.

Même si cela dépasse l'entendement de bien des gens.
Mais si ton esprit n'est pas prêt à imaginer que tu puisses vivre éternellement, c'est alors que tu as un biais cognitif ! Et que tu n'es pas dans un état de grande neutralité pour accueillir cette information !

Neutralité.
Infinité des possibles.
Vie Éternelle possible.
La boucle est bouclée.

Fin de la transmission. Mon esprit va pouvoir se reposer un peu. 😉

🕊️ Dans la Paix, la Joie et l’Amour de nos cœurs 💕

Pour aller plus loin :

Questions 11 à 20 Question 12

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25-04-24 14:41